Une ferme militante
enracinée dans la culture
du vivant

En plein coeur de la plaine de Versailles, la Ferme du Prieuré est une ferme en activité de 100 hectares qui défend une agriculture militante tournée vers la régénération des sols.
Nous choisir pour un événement privé, c’est soutenir activement cette démarche éco-responsable, coûteuse en énergie humaine mais alignée avec nos valeurs.
Notre ambition est claire : faire moins mais mieux. Pour y arriver, nous renouons avec des pratiques culturales ancestrales qui n’ont pourtant jamais été aussi actuelles.
Dans les sillons de nos champs, nous semons les graines d’une vision du monde en phase avec nos ressources.

Un projet de vie nourri par Elissia et Benjamin

La Ferme a eu plusieurs vies et c’est ce qui fait son charme. Au gré des époques et des saisons, elle a été une simple chapelle au XIIIème siècle, une ferme royale et un lieu de chasse pour Louis XIV, un laboratoire au XXème siècle pour Pasteur.

En 2015, Elissia et Benjamin font l’acquisition de ce lieu authentique avec la ferme intention d’y écrire un nouveau chapitre. Leur projet de vie s’inscrit dans le temps long face à l’urgence du réchauffement climatique en oeuvrant pour une agriculture qui place le vivant au coeur de ses pratiques.

Notre ambition :
ne laisser que l'empreinte de nos pas

Le constat est sous nos pieds : des décennies d’agriculture intensive ont appauvri les sols tout en fragilisant notre santé. Pour y répondre, Elissia et Benjamin ont mis en place des pratiques culturales aussi exigeantes que l’est la situation.

L'agroforesterie

Cultiver la vie dans nos champs c’est commencer par planter des haies en bordure pour que la vie s’y épanouisse. Avec notre implication dans l’agroforesterie, nous construisons des refuges pour les insectes et les petits mammifères. Nous stockons du carbone et luttons contre l’érosion des sols.

@Amélie labarthe

Culture biologique de conservation des sols

Chaque hectare du domaine est en culture biologique de conservation des sols. L’activité agricole se répartit entre la culture céréalière et la culture.

Transformation sur place

Pour minimiser notre empreinte carbone une partie des matières premières sont transformées directement chez nous en farine et proposer à la vente à des partenaires proches de nos valeurs et de notre Ferme.

Circuits courts

Cultiver le vivant c’est aussi faire de notre ferme un acteur qui participe à la vie de son territoire où nous tissons des partenariats durables avec des restaurateurs, traiteurs, boulangers, etc.
Ainsi nous accueillons deux fois par semaine l’ AMAP de Villepreux avec pour objectif de favoriser une agriculture locale.

@Mélody barabé

Bilan carbonne

Nos pratiques culturales respectent le vivant et allègent notre empreinte carbone. Après des années d’effort, nous sommes parvenus à un bilan carbone non seulement neutre mais négatif. Nous sommes fiers de capter l’équivalent de 200 kilos de dioxyde de carbone par hectare selon l’étude Fame réalisée en 2023 par la Chambre d’agriculture.